La Fondation Michael J Fox vient de présenter les conclusions d’une étude ayant permis d’identifier un biomarqueur de la maladie de Parkinson avec une précision de 90%. Une telle avancée pourrait permettre de détecter la maladie avant l’apparition des symptômes typiques. Elle pourrait également ouvrir la voie à de nouvelles thérapies potentielles. Les détails de ces travaux sont publiés dans The Lancet Neurology.
Bien que la cause exacte de la maladie ne soit pas encore connue, des facteurs tels que l’âge, l’hérédité et l’exposition à des toxines environnementales peuvent augmenter le risque. Les traitements actuels incluent des médicaments permettant d’augmenter les niveaux de dopamine dans le cerveau, une thérapie physique pour améliorer la mobilité et la coordination, ainsi que des changements de mode de vie. Malgré tout, on ne guérit toujours pas de la maladie. C’est pourquoi la recherche continue.