nous autorise à prélever jusqu’à 500 individus».
M. Boivin estime qu’au moins 200 cerfs sont concernés, or «il est fort douteux qu’on parvienne à se rendre à 500».
La SEPAQ a fait remarquer qu’une inaction pourrait mener à la dégradation du milieu naturel en raison du broutage excessif, mais aussi à la raréfaction de certaines espèces végétales et animales, en plus d’entraîner des risques accrus de propagation de la maladie de Lyme. À tout cela s’ajoutent aussi les risques de collisions routières ainsi que les dommages aux propriétés avoisinantes et aux récoltes.
Le gouvernement a vivement recommandé que le tir de précision par des spécialistes en tant que méthode d’abattage, puisque celle-ci est considérée comme étant la plus «appropriée et soucieuse du bien-être animal».
En ce qui concerne la viande qui sera recueillie, la SEPAQ a assuré que celle-ci sera offerte à des familles ou des personnes défavorisées à travers différentes banques alimentaires, par le biais du programme Chasseurs Généreux de la Fédération québécoise des chasseurs et des pêcheurs du Québec.
Enfin, la SEPAQ a rappelé à la population de redoubler de prudence dans les deux parcs nationaux: «Les visiteurs devront faire preuve d’une vigilance […] et un respect strict des consignes quant aux heures d’ouverture et à l’accessibilité aux deux parcs nationaux est demandé au cours des prochains mois.»
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