À ToutQc, un site Web qui parle de ce qui se passe autour de nous, on a récemment trouvé quelque chose d’assez important à partager. La moitié des routes au Québec ne sont pas en bonne forme. C’est une dame nommée Guylaine Leclerc, qui est la Vérificatrice générale du Québec, qui a partagé cette information.
Comment elle sait ça? C’est parce que ça fait partie de son travail de vérifier l’état des choses que nous utilisons tous les jours. Donc elle a dit que la moitié des routes gérées par le Ministère des Transports et de la Mobilité Durable sont en mauvais état. Elle ajoute même que beaucoup de ces routes sont arrivées à la fin de leur vie utile.
Qu’est-ce que ça veut dire? Cela signifie que ces routes nécessitent des réparations, mais que les travaux effectués pour les entretenir jusqu’à maintenant n’ont pas suffi. Donc, le soin nécessaire pour maintenir les routes en bon état a augmenté.
Combien coûte cela exactement? Selon Mme Leclerc, entre 2018 et 2022, le coût pour essayer de corriger ce problème a augmenté de 3 milliards de dollars! C’est maintenant 10 milliards de dollars au total, et c’est plus qu’un quart de l’argent nécessaire pour prendre soin de toutes les infrastructures publiques du Québec.
Elle précise que le ministère n’a pas évalué combien d’argent serait nécessaire pour complètement résoudre ce problème. De plus, certains travaux qui pourraient aider à maintenir les routes en bon état ne sont pas prévus. Pire encore, beaucoup des travaux qui sont prévus sont souvent retardés.
Cela pourrait donc prendre beaucoup de temps avant que nos routes soient toutes en bon état. Mme Leclerc estime qu’au rythme actuel, il faudrait plus de 25 ans pour y arriver.
Pour résumer, ToutQc nous informe que la moitié des routes au Québec sont en mauvais état et qu’il faudrait du temps et beaucoup d’argent pour les réparer. C’est pourquoi il est important de comprendre que prendre soin des routes est un grand travail qui a besoin de beaucoup de planification et de ressources.
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